Invitées au podcast Au Confessionnal, Liliane et Coco Béliveau sont revenues sur leur expérience à Big Brother Célébrités, partageant notamment leur perception de François Lambert.
Si les deux humoristes ont reconnu le grand jeu social de François, Liliane a également admis avoir été profondément blessée par certains de ses commentaires après l’émission.
« Ça m’a aussi déçue quand je regardais les messages. Ça m’a fait beaucoup de peine quand j’ai vu qu’il pensait que je pleurais des larmes de crocodile », a confié Liliane, visiblement encore touchée. Selon elle, François a mal interprété ses émotions lors de son départ, croyant à tort qu’elle jouait pour le jury. « Je m’étouffe pas avec ma morve à ce point-là », ajoute-t-elle, blessée que sa sincérité ait été remise en question.
Liliane a notamment réagi aux critiques de François, qui affirmait qu’elle « dormait tout le temps » et sous-entendait que cela nuisait à son jeu social. « J’ai entendu des perches comme quoi je dormais trop, mais franchement, est-ce que c’est pire que ceux qui jouaient au Scrabble pendant des heures sans être parlables ? », a-t-elle lancé, visiblement blessée par ces remarques personnelles. Elle a aussi rappelé qu’elle était entrée dans la maison en étant malade, avec de la fièvre et une conjonctivite, ce qui expliquait sa fatigue.
Coco, de son côté, a souligné à quel point leur relation avec François était pourtant bonne dans le jeu. « On avait vraiment une belle relation avec lui, on affichait même des photos de lui sur notre lit pour le montrer ! », a-t-elle expliqué,
Malgré tout, les deux femmes reconnaissent le talent de François. « C’est quelqu’un qui gagne à être connu », a affirmé Coco. Elle souligne sa flexibilité dans le jeu, sa capacité à naviguer entre les alliances et son sens stratégique. « Il aurait pu se rendre jusqu’au bout », ajoute-t-elle.
Liliane et Coco avouent avoir eu une belle relation avec lui, mais que la dynamique du jeu les a poussées à l’évincer. Elles espéraient toutefois qu’il comprendrait la logique stratégique derrière cette décision. « On voulait qu’il sache que ce n’était pas personnel, qu’on l’aimait vraiment », résume Liliane.