Jonathan Roy était de passage au podcast Le Carnet du Manager. Il a décidé de partager en toute honnêteté une réflexion profonde et personnelle sur sa relation avec l’argent.
Il avoue ouvertement détester l’argent et se sent mal à l’aise dès que le sujet est abordé. Pour lui, l’argent est une source de tension et de complexité, bien qu’il reconnaisse son importance dans sa vie quotidienne et professionnelle. Il explique que l’argent lui permet de financer sa liberté et de poursuivre ses passions, notamment la musique, mais il insiste sur le fait que ce n’est pas ce qui le motive ou le définit.
Il revient sur son enfance et son éducation dans une famille aisée, ce qui, selon lui, a créé une distance entre lui et ce qu’il appelle la « société normale ». Cette situation l’a marqué, car il a souvent été perçu comme riche uniquement à cause de la fortune de son père, ce qui a influencé la manière dont les gens l’ont traité tout au long de sa vie. Jonathan exprime un certain malaise face à cette étiquette, qui l’a parfois fait se sentir isolé ou différent des autres. Il souligne que cette perception a eu un impact sur sa manière de voir le monde et sur ses relations avec les autres.
Malgré cela, Jonathan reconnaît que l’argent joue un rôle essentiel dans sa carrière et sa vie personnelle. Il admet être reconnaissant que sa réussite artistique lui permette de vivre confortablement et de financer ses projets. Cependant, il insiste sur le fait que l’argent ne doit pas devenir une obsession ou une fin en soi. Pour lui, la véritable richesse réside dans la liberté de créer, de voyager et de vivre des expériences authentiques, loin des pressions matérielles.
En résumé, Jonathan Roy entretient une relation ambivalente avec l’argent. D’un côté, il le déteste pour les barrières sociales et les jugements qu’il a engendrés dans sa vie. De l’autre, il en reconnaît l’utilité pour préserver sa liberté et poursuivre ses passions. Son discours reflète une quête d’équilibre entre la nécessité de gérer les aspects financiers de sa carrière et son désir de rester authentique, loin des préoccupations matérielles. Pour lui, l’argent est un outil, mais jamais une finalité.