Cette influenceuse partage une vidéo émotionnelle où elle pleure face à la possible interdiction de TikTok aux États-Unis. Bien qu’elle n’aime généralement pas pleurer en ligne, elle souhaite montrer sa vulnérabilité et son authenticité dans ce moment difficile.
Elle défend d’abord la légitimité de son travail de créatrice de contenu, soulignant que c’est un véritable emploi à temps plein qui implique la fourniture d’un service contre rémunération. Elle rejette fermement les critiques de ceux qui minimisent cette profession.
Après presque trois ans sur la plateforme et près d’un million d’abonnés, elle explique que sa tristesse va au-delà de l’aspect financier. TikTok représente pour elle un « safe space » (refuge) où elle se réfugie quand elle ressent de l’anxiété ou a besoin de faire une pause.
Elle décrit la réalité exigeante du métier de créateur de contenu : produire 3 à 5 contenus par jour, filmer constamment, éditer, rester créatif, suivre les tendances. Elle souligne l’investissement personnel considérable que cela représente, parfois au détriment de sa présence dans la « vraie vie ».
Bien qu’elle reconnaisse qu’il existe des problèmes plus graves dans le monde et qu’elle s’en sortira financièrement, elle exprime sa frustration face à la possible perte de tout ce travail acharné. Elle est fatiguée de l’incertitude constante autour du bannissement de l’application (extension accordée puis refusée).
Elle conclut en évoquant la difficulté de devoir potentiellement recommencer à zéro sur une autre plateforme et remercie sa communauté pour son soutien. Sa détresse semble particulièrement forte ce soir-là, alors qu’elle réalise pleinement l’impact possible de cette situation.
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