Sophie Durocher pète sa coche et aimerait qu’on fout la paix à Guillaume Lemay-Thivierge

Dans sa chronique récente dans le Journal de Montréal juste ici, Sophie Durocher critique le traitement médiatique de Guillaume Lemay-Thivierge, particulièrement le double standard de Radio-Canada.

Elle souligne que la société d’État refuse une publicité mettant en vedette Guillaume par crainte de controverse, mais n’hésite pas à le ridiculiser pendant trois minutes dans le Bye Bye devant des millions de téléspectateurs.

Durocher dénonce ce qu’elle qualifie d’acharnement médiatique, comparant cela à « fesser sur un gars qui est à terre ». Elle note que Guillaume, qui a perdu plusieurs contrats, est en période de reconstruction et que la satire du Bye Bye par des artistes bien payés semble particulièrement cruelle.

Elle soulève aussi une incohérence : alors qu’on continue de se moquer de Guillaume pour « une mauvaise blague », on ignore les propos controversés d’autres personnalités publiques comme Haroun Bouazzi. Elle cite en exemple la réaction positive du public à une publicité de Meubles RD mettant en vedette Guillaume, contrastant avec l’hostilité des médias.

La chroniqueuse conclut en questionnant pourquoi un comportement considéré comme de l’intimidation dans une cour d’école devient acceptable quand il est perpétré par « la clique des médias » contre quelqu’un qui ne fait pas partie du « bon groupe ».

On se rappelle aussi qu’elle avait publié un message similaire l’année passée lors de sa première controverse:

@activiste_quebecois

♬ son original – KeBs

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Mis à jour le 6 janvier 2025 10:47 am