L’éducatrice exprime sa vive frustration concernant l’attitude de certains parents face au comportement problématique de leurs enfants en milieu scolaire ou en garderie.
Elle déplore que de nombreux parents semblent désintéressés ou déresponsabilisés quant à la conduite de leurs enfants pendant la journée.
Selon elle, le comportement inapproprié d’un enfant – qu’il s’agisse d’irrespect envers les enseignants ou de rudesse envers les camarades – n’est pas une problématique qui devrait être entièrement gérée par l’établissement, mais plutôt un « problème familial » qui nécessite une intervention parentale directe. L’éducatrice insiste sur sa propre approche parentale : elle souhaite être immédiatement informée par courriel ou téléphone si sa propre fille se comporte mal, car elle considère qu’il lui incombe de corriger ces comportements à la maison.
Elle précise qu’elle ne recourt pas à la violence physique pour discipliner son enfant, mais qu’elle prend néanmoins des mesures appropriées pour résoudre les problèmes de comportement. L’éducatrice se dit « complètement stupéfaite » par l’attitude nonchalante de certains parents qui semblent désintéressés de savoir comment se comportent leurs enfants pendant la journée.
Son message final est un appel aux parents à assumer davantage leurs responsabilités éducatives et à « faire mieux », suggérant que la responsabilité première du développement comportemental des enfants repose sur les parents, non sur les institutions éducatives. Elle affirme clairement que si un enfant agit mal dans un cadre institutionnel, c’est aux parents d’intervenir et de corriger la situation.
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