Dans ce podcast consacré aux finalistes de Big Brother Célébrités, Fred aborde un moment clé de son expérience dans Big Brother Célébrités : la fameuse question que Coco Béliveau lui a posée lors de la finale.
Pour elle, ce moment a été extrêmement marquant et bouleversant. Elle admet d’emblée que cette question l’a profondément atteinte, non pas parce qu’elle remettait son jeu en doute, mais parce qu’elle touchait directement sa personnalité et son intégrité.
Fred explique qu’elle ne s’attendait pas à une attaque aussi frontale, surtout venant de Coco, qu’elle considère brillante, drôle et dotée d’un sens du jeu redoutable. Elle décrit sa réaction comme instinctive : « J’ai figé. J’étais comme : ‘Wow, OK, c’est ça la perception?’ » Cette question a généré chez elle un mélange d’émotions : de la surprise, de la tristesse, et même une certaine honte. Elle s’est sentie déstabilisée, exposée, comme si son authenticité venait de se retourner contre elle.
Elle confie que ce moment l’a fait réfléchir profondément sur sa manière de jouer et d’être perçue. « Moi, j’ai été entière. J’ai pleuré, j’ai eu des colères, j’ai été vraie. Mais là, on me dit que ça, c’est pas digne d’une gagnante? » Elle ne rejette pas la critique, mais elle remet en question la définition même de ce qu’est une gagnante. Pour elle, la force réside dans l’authenticité, même dans les moments de faiblesse. « C’est pas parce que t’as des émotions que t’es pas forte. »
Fred avoue avoir mal digéré la question. Elle en a parlé avec ses proches, elle y a repensé longtemps après. Elle précise toutefois qu’elle n’en veut pas à Coco : « Coco a joué le jeu. Elle a posé une question stratégique. Mais moi, ça m’a ébranlée. » Elle ajoute que cette question a eu un impact direct sur sa performance en finale, qu’elle s’est sentie diminuée et incapable de défendre pleinement son parcours.
Sur sa relation avec Coco, Fred reste respectueuse, mais lucide. Elle dit ne pas avoir senti une rivalité personnelle, mais plutôt une vision du jeu différente. « On n’a pas joué le même Big Brother. Elle, c’était la stratégie fine. Moi, c’était les émotions brutes. »