Après sa rupture, cette jeune femme est retournée vivre chez ses parents à Gatineau, où elle explore la scène des rencontres depuis près d’un an.
Malgré les encouragements de ses tantes qui la rassurent sur son attrait (« T’es une belle fille, ma reine »), elle trouve l’expérience particulièrement décevante.
Elle s’est inscrite sur plusieurs applications de rencontres comme Tinder et Hinge, mais constate que les seuls hommes avec qui elle a réellement eu des rendez-vous étaient des anglophones de l’Ontario. Le problème principal qu’elle identifie n’est pas un manque d’intérêt initial de la part des hommes locaux, mais plutôt leur réticence à concrétiser les rencontres. Elle remarque que les hommes de Gatineau préfèrent interagir virtuellement – ils réagissent à ses stories sur les réseaux sociaux comme Facebook, Snapchat et Instagram, mais lorsqu’elle tente d’organiser des rencontres en personne, ces projets n’aboutissent jamais.
Cette situation la frustre d’autant plus qu’elle affirme avoir revu ses critères à la baisse. Elle s’interroge avec ironie sur les raisons de cette passivité, se demandant si ces hommes sont peut-être « trop fatigués de leur 9h00 à 5h00 au gouvernement », faisant allusion aux nombreux fonctionnaires fédéraux qui travaillent à Gatineau et Ottawa.
Face à cette expérience décevante, elle conclut que la scène des rencontres à Montréal correspond davantage à ses attentes et préférences, déclarant que c’est « bien plus ma cup of tea là-bas ».
@shoobidowap Le dating a #gatineau ♬ original sound – Marbrer