Karine St-Michel, une ancienne candidate d’Occupation Double, exprime sa tristesse quant au départ de Justin Trudeau de son poste de Premier ministre du Canada. Sa préoccupation principale ne porte pas sur les politiques ou les réalisations de Trudeau, mais plutôt sur son apparence physique attrayante.
Karine déclare être « honnêtement triste » que Trudeau s’en aille, car selon elle, le prochain Premier ministre « ne sera pas chaud ».
Elle poursuit sa réflexion en insistant sur cette distinction : « On n’aura pas un chaud Premier ministre » et « On n’aura pas un hot Prime Minister, on va avoir un Prime Minister », établissant ainsi une différence claire entre un dirigeant qu’elle considère comme séduisant et un simple politicien ordinaire.
Dans la suite de son monologue, St-Michel affirme que Trudeau « était agréable à regarder », suggérant que l’apparence physique du Premier ministre était un facteur qui rendait la politique intéressante à ses yeux. Elle va jusqu’à admettre que c’est cet aspect qui suscitait son « intérêt pour la politique », laissant entendre que sans cet attrait visuel, elle pourrait ne pas être aussi attentive aux affaires gouvernementales.
Ce témoignage de Karine St-Michel, bien que superficiel, met en lumière une réalité de la politique moderne où l’image et l’apparence des dirigeants peuvent influencer la perception et l’engagement de certains citoyens. Pour elle, l’esthétique d’un leader politique semble être un facteur non négligeable dans son appréciation du paysage politique canadien.