Un influenceur explique un phénomène qu’il vit personnellement : si l’une de ses vidéos ne performe pas bien, que l’algorithme ne la favorise pas et que cette situation perdure pendant une semaine, il ressent que « sa vie est finie ».
Cette déclaration illustre l’impact psychologique profond que peut avoir le manque de succès sur les plateformes numériques. (via PetitPetitGamin)
La dame lui répond en qualifiant cette réaction de « dangereuse » et nomme ce phénomène les « petites dépressions d’influenceurs », confirmant que cela existe réellement.
Il décrit ensuite le cycle émotionnel vécu par les créateurs de contenu : une journée difficile avec moins de visionnements peut provoquer une grande détresse. Il suggère même que les influenceurs préféreraient recevoir des commentaires haineux (« hate ») plutôt que de ne pas avoir de vues du tout, soulignant à quel point la visibilité – même négative – est valorisée dans ce milieu.
Il mentionne également que ces états dépressifs sont cycliques (« Ça part, ça revient ») et évoque une stratégie d’adaptation : faire des imitations de sa mère, possiblement pour générer du contenu quand l’inspiration ou la motivation fait défaut.
Ce bref échange met en lumière la vulnérabilité psychologique des créateurs de contenu numérique, dont l’estime de soi et le bien-être sont étroitement liés à la performance de leur contenu en ligne. Il révèle les conséquences mentales de la dépendance aux métriques d’engagement et aux algorithmes des plateformes sociales.
@mereetfils_podcast Les "dépressions d'influenceur" Le nouvel épisode du podcast avec @zozoduval ♬ son original – Mère & Fils Podcast