Voici @sav_zionwalker sur TikTok. Cette fille s’est fait charger 1050$ US (1500$) par son propriétaire de logements car son chien a fait caca dehors…
@sav_zionwalker We are being charged $1,050 for dog poop!! Help me understand how this is normal #apartment #apartmentliving #apartmentcrisis ♬ original sound – Sav&Zion
Une locataire se retrouve confrontée à des frais inattendus de 1 050 $ en raison des excréments de son chien.
Elle a été surprise par une série de trois violations pour des excréments de chien trouvés à l’extérieur, datant de novembre et décembre, avant même qu’elle ne soit informée des règles de gestion des excréments.
Elle a été informée de ces violations par une série d’avis reçus tous ensemble, sans préavis, l’informant qu’elle devait retirer son animal d’ici le 15 février, sous peine d’expulsion.
Ce qui choque le plus cette locataire, c’est la méthode employée par la direction de l’immeuble pour identifier les responsables des excréments.
En effet, selon le contrat, ils effectuent des tests ADN sur les excréments pour les relier au chien responsable. Cette approche stricte a laissé la locataire perplexe, se demandant si d’autres ont déjà été confrontés à une telle situation. De plus, l’accusation de trois violations en une seule journée, sans préavis ni possibilité de corriger le comportement, a été perçue comme injuste et excessivement pénalisante.
La locataire remet également en question l’exactitude des accusations, notant qu’une des infractions mentionne des excréments trouvés dans un endroit improbable, un couloir, où son chien n’a jamais eu accès. Cette situation la laisse perplexe quant à la crédibilité des preuves et de la gestion des infractions par la direction de l’immeuble.